de Kim Kwang Lim
créé au Séoul Art Center (2008)
Un homme et une femme sont sur scène.
Ils confessent leurs péchés à l’audience. Nous compatissons par la sympathie, nous nous réjouissons de les entendre confesser nos crimes, nous anticipons leur prochaine pénitence. Alors que nous sommes sur le point d’accorder le pardon, ils annoncent que les confessions étaient des mensonges.Et ceci est encore une nouvelle confession.
Il n’y a pas, dans cette pièce, de vraie repentance, pas d’absolution, ni de pardon.
Pas de salut, simplement l’incessant cycle de l’homme, « the stuff men are made off ».